Sweet little candor…
In the dead
of night, while
the face is leaning
on the pillow
and a magical silence
spreads in the
darkness giving
the marvel of
a sweet atmosphere,
a graceful image
comes in the bedroom
and touches my
lips with a luminous
whisper: “there’s
a delicate sadness
in the light of
your faith, dear
little candor…”.
Dans le brouillard
Le silence du matin se répand doucement
dans une atmosphère mystérieuse et pleine
de paresse alors que la brume, en couvrant
la cime des branches qui fuient dans le ciel,
s’étend sur la terre et près des pétales parfumés;
il marche avec un pas lent en direction de
l’infini et une mortelle nostalgie retourne dans
le cœur pour donner l’émotion d’un instant
éphémère où tout disparaît, les mémoires et
les chants des rayons, la lueur des étoiles
et les nuits enchantées dans la grâce lumineuse
d’un sourire éternel.
Sol de primavera
Cuando el
reluciente rayo
cubre la campaña
y la luminosidad
aumenta en la frescura
de la fabulosa edad
siento un canto
pasajero y el susurro
del pastor que
trabaja confiado.
Brillan los huertos
y los vivientes jardines,
danzan las rosas
con los pétalos finos
que recuerdan la
luz de la primera
sonrisa, rima el placer
en las ramas mojadas.
En este portento
el alma festeja la
radiante poesía de
la nueva estación.
Seulement tristesse…
Le tourment
intérieur qui célébre
l’inquiétude d’un
instant d’affliction,
la souffrance qui
revient comme un
souffle de lumière
dans la pièce
silencieuse et encore,
dans le vide, un
appel de douleur
et la voix du présent
qui décrit le soupir
quand dans l’aube
des étoiles réapparaît
l’illusion: seulement
tristesse…
Il silenzio della morte
(Composizione scritta in data 17/6/1993)
Perpetui e profondi silenzi di morte rumoreggiano
con voci stanche di celebrare l’acceso sapore delle
eterne stagioni, tra i soffi del vento e l’amabile canto
del vispo galletto da poco svegliato.
Odo i passeri cinguettare i versi delle tetre sensazioni
mentre, poco lontano, oltre i sospiri di un cimitero
di suoni, vocia la quiete ed il giovane fischio del
tranquillo pastore.
Quando il sole del primo mattino s’adagia sul colle
vociando la rima d’un nascente timore m’invento
un sorriso ed allor, nel mio cuore, sento il vano
tormento ed il freddo passar di un intenso dolore: e
ritorno a quel fiore, all’alba impetuosa di una fresca
emozione, all’umile pianto che ridona la vita.
I honestly tell you…
While the breath of a purplish sunset spreads
in the valley touching the roof of a romantic
belief I honestly admit that often your dreams
return in the darkness of a sad atmosphere and
also that sound, profound and sincere, gives you
the whisper of a feeble appearance; but listen, my
darling, and always remember that everything
shines in the light of your soul and even this
pathway, winding and dark, comes in the end
where the hope of a feeling discovers your fate…
Le chant de la nuit
Un silence sépulcral
règne dans le jardin
et sur les pétales
des fleurs assoupies
à observer la splendeur
de la nuit; la vieille
dame, avec un pas
lent et difficile, s’assied
sur le banc et commence
à penser à la jeunesse
disparue, à la beauté des
matins et aux sourires
de l’amour.
Les yeux s’illuminent
de sérénité pendant
que le cœur, plein
d’émotion, palpite et
invente une timide
cantilène qui couvre
de joie la profonde
obscurité.
Tout à coup le
souffle du vent meut
les jeunes feuilles
et ainsi, tristement,
elle retourne à la
réalité: le regard fuit
dans les ombres
de la nostalgie et
une larme solitaire
descend sur le visage
avec la douceur
d’un instant fugitif.
Silencio nocturno
En el candor del silencio nocturno
observo la frágil imagen de una apática
luz que descubre el camino de la débil
mujer y en esta tristeza reveo la aflicción
de una rosa agotada, la dulce armonía de
una mente serena que busca el alivio en
el tierno pasado, la fuerza y el dolor de
un viviente suspiro…
Pour le souffle du soleil…
J’écris pour le souffle du soleil et quand
l’aube d’un sourire éclaire le regard d’une
étoile mystérieuse je décris ta lumière,
la voix séduisante qui couvre la tristesse
de la peur intérieure, les yeux, le profil,
la tendre chanson dans la brise matinale…
Quel sorriso che viene per donare l’eterno
Quel sorriso che viene per donare
il candore di una rosa appassita, la
voce del canto che in eterno riposa
nel dolore inquieto di un pensiero
fugace ed infine, nel cuore, il ricordo
del sole ed il lento fiorir del suo tenero
pianto.
La penumbra de la vida
La palidez pinta el rostro desconsolado
como el vuelo del pájaro que termina
en el frío y mortal terreno; la luz escapa
por miedo de encontrar la felicidad y
aquella orilla es el último refugio por la
voz de los sentidos, con el viento que
susurra y una rosa inconsolable donde
vive la tristeza de un jardín abandonado.
La sombra desciende en el sendero, cubre
el canto de la dicha y después, en un
instante, dona el soplo de la muerte.
[continua]